De jolis petits porte-bonheurs chinois qui peuvent être utilisés comme amulettes de chance. Un amulette de chance peut toujours être portée avec vous et c'est pourquoi la plupart des petites figurines porte-bonheur sont petites afin que vous puissiez les glisser dans votre portefeuille ou votre poche intérieure, ou les porter de différentes manières comme porte-clés, porte-bagages ou bracelet, et avec un peu de créativité, même comme boucles d'oreilles. Les porte-bonheurs chinois ont les caractéristiques suivantes. Ils sont en bois et ont des couleurs vives. Ils ont tous une boucle, afin que vous puissiez les accrocher ou les fixer quelque part, et ils ont tous des cordons colorés. Ce qui est amusant, c'est qu'ils sont fabriqués en Chine, mais que les Chinois ne les connaissent pas ou ne les utilisent pas eux-mêmes car leur origine est mexicaine. Un amulette, un talisman ou un fétiche est un objet dont on croit qu'il offre une protection contre le danger, la maladie et le malheur. Une distinction qui est parfois faite est qu'un amulette repousse les forces négatives et qu'un talisman utilise des forces positives et peut même agir à distance. Souvent utilisés comme amulettes, on trouve : des pierres précieuses, des pièces de monnaie, des dessins, des bagues, des objets religieux (l'Œil d'Horus, la croix chrétienne, une statuette de Bouddha), des plantes (par exemple le trèfle à quatre feuilles, voir aussi les herbes répulsives) et des (parties de) animaux. Même des mots sont utilisés comme 'amulette'; le latin "Vade retro, Satanas" ou le verset du trône par exemple. Bien que le terme désigne un objet de même type, l'accent dans un amulette est davantage mis sur la protection et la préservation du danger. Un talisman fait la même chose mais en est dérivé comme un porte-bonheur aux yeux des utilisateurs. Les Cyranides est une encyclopédie anonyme sur les amulettes du Ier siècle av. J.-C. Pline l'Ancien décrit des amulettes utilisées pour guérir une maladie, soulager la douleur ou protéger contre la magie noire dans le livre 30 de son Histoire naturelle. Dans l'Indiculus superstitionum et paganiarum du VIIIe siècle, l'utilisation des amulettes était désapprouvée. Le choix du cristal de roche comme verre à boire ou comme partie des bijoux médiévaux peut être attribué à la croyance que ces cristaux se briseraient ou se décoloreraient lorsqu'ils entraient en contact avec du poison. Ainsi, le collier devenait un amulette qui protégeait le roi.