Étagère Fleur de Vie avec pierres roulées Triangle d'Or.

L'arbre de vie biblique ou arbre de vie ( hébreu : עץ החיים ; Etz haChayim ) est mentionné dans le livre biblique de la Genèse au verset 2: 9 comme l'arbre qui a été planté par Dieu avec l'arbre de la connaissance du bien et du mal dans le jardin d'Eden (paradis) et dont les fruits donnent la vie éternelle (immortalité). Après qu'Adam et Eve eurent mangé de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, la Bible rapporte que tous deux furent bannis du jardin d'Eden pour les empêcher de manger du fruit de l'arbre de vie : « Alors Dieu pensa à l'Éternel : Maintenant l'homme a devenu comme nous, maintenant il a la connaissance du bien et du mal. Maintenant je l'empêcherai de récolter le fruit de l'arbre de vie, car s'il en mangeait, il vivrait éternellement. - (NBV, Gen 3:22), Ainsi, selon l'histoire biblique, Adam et Eve ont été séparés de l'arbre de vie et rendus mortels. Dans le Nouveau Testament chrétien, ce bannissement du Jardin d'Eden est compensé par la « plantation » du nouvel arbre de vie (Jésus) du côté de l'homme. Dans le livre de l'Apocalypse de Jean, la phrase koinè-grec xylon zoës (ξύλον ζωής) est utilisée trois fois (2: 7, 22: 2 et 22: 19), ce qui dans les traductions néerlandaises est littéralement traduit par «arbre de vie» ou 'arbre de vie' traduit (22:19 est également traduit par 'livre de vie' dans certaines traductions). L' « arbre de vie » est utilisé plusieurs fois dans le livre biblique des Proverbes en rapport avec la Sagesse. En tant qu'image, il décrit la valeur de la Sagesse. La sagesse est un arbre de vie pour ceux qui l'embrassent (Prov. 3:18). Un homme juste plante un arbre de vie (Prov. 11:30). Le désir réalisé (par opposition à l'espoir non réalisé) est un arbre de vie (Prov. 13:12). Les mots calmes (par opposition à une fausse langue) sont un arbre de vie (Prov. 15:4). L'auteur des Proverbes semble avoir une prédilection pour l'image de l'arbre de vie, mais cela n'est jamais explicitement énoncé. L'image en tant que telle a probablement une éloquence suffisante pour l'écrivain. L'arbre de vie est représenté dans plusieurs exemples de géométrie sacrée et est un point central de la Kabbale (l'étude mystique de la Torah), où il est représenté comme les sefiroth. L'arbre de vie germanique. L'Irminsul était un sanctuaire important pour les Saxons du VIIIe siècle après JC. avec vraisemblablement une grande portée symbolique. Il est mentionné et décrit brièvement dans les Annales regni Francorum, la Translatio St. Alexandri de Rodolphe de Fulda et dans la Gesta Hammaburgensis ecclesiae pontificum (Livre I, chapitre 8) d'Adam de Brême. Ces derniers utilisent exactement les mêmes mots et décrivent l'Irminsul comme un grand tronc de bois dressé qui, selon les Saxons, soutenait le monde entier. Cependant, Adam van Bremen dit qu'il a copié les données d'Einhard (vers 770-841). Cependant, son travail n'a pas survécu. Dans les mots d'Einhard, selon Adam van Bremen : Truncum quoque ligni non parvae magnitudinis in altum erectum sub divo colebant, patria eum lingua Irminsul appellantes, quod Latine dicitur universalis columpna, quasi sustinens omnia. Traduit cela signifie : Ils avaient aussi l'habitude d'adorer un tronc en bois de taille pas petite érigé en haut sous le ciel ouvert, qu'ils appelaient dans la langue de leur patrie Irminsul, qui en latin est universalis columna (= al-pilier). pour ainsi dire, a tout soutenu. L'arbre de vie kabbalistique est un modèle avec lequel les kabbalistes hermétiques symbolisent l'univers entier et son origine. Cet arbre de vie a une forme différente de celle connue des kabbalistes juifs. La première publication dans laquelle cet arbre de vie est apparu était Oedipus Aegypticus d'Athanasi Kircher de 1652. Robert Fludd a adapté ce schéma dans ses Œuvres complètes de 1617.